Mission identifiée et investie par les maires, la communication municipale est aujourd’hui reconnue d’utilité dans la grande majorité des communes, y compris les plus petites. Dans une enquête menée par le réseau des communicants publics Cap’Com et l’institut d’études Occurrence, en partenariat avec l’Association des maires de France et le Courrier des Maires, on apprend que 85 % des maires reconnaissent que la communication est une mission clé du fonctionnement de leur collectivité. Pour cela, ils doivent s’appuyer sur des professionnels du secteur comme le groupe Media Plus Communication.
Communication municipale, une fonction reconnue
Nous vous le disions, la communication municipale est aujourd’hui une fonction reconnue par la grande majorité des maires. 85 % pour être exact, selon les données révélées par l’enquête signée Cap’Com et Occurrence, en partenariat avec l’Association des maires de France et le Courrier des Maires. La même enquête nous apprend que dans près de 40 % des cas, la fonction communication dans les mairies est adossée à d’autres attributions comme la culture ou encore le tourisme. Si vous doutez de l’importance accordée à la communication municipale par les autorités publiques, sachez que même les communes rurales s’y mettent, près des deux tiers d’entre elles ayant désigné une personne ou plus pour prendre en charge le volet communication. Souvent, c’est un élu qui s’occupe de la fonction communication dans les communes rurales, alors qu’elle est principalement occupée par un agent dans les villes (moyennes et grandes).
Sur un autre registre, l’enquête révèle que les maires s’intéressent à la communication de près, et même lorsqu’ils ne la prennent pas en charge directement, beaucoup d’entre eux rencontrent régulièrement la personne qui s’en occupe, au moins une fois par semaine. En outre, parce qu’ils s’estiment peu qualifiés pour exercer la fonction de communicant, les maires ont tendance à s’appuyer sur ceux dont c’est le métier, comme le groupe Media Plus Communication à Saint-Laurent-du-Var.
Communication municipale VS Communication politique
C’est un fait, la distinction entre communication municipale / institutionnelle et communication politique n’est pas toujours opérée par les maires. En effet, 56 % d’entre eux affirment que les deux ne sont pas réellement distinctes. C’est particulièrement le cas dans les petites communes, l’absence de distinction étant justifiée par l’absence de communication politique proprement dite.
Avant d’aller plus loin, il convient de définir la communication institutionnelle ou publique et son rapport à la communication politique. La première est une communication d’intérêt général exercée à la fois par les collectivités locales, les syndicats intercommunaux, les institutions nationales / européennes et les organismes publics locaux. En outre, la communication institutionnelle est reconnue comme un service public, jouant le rôle de favorisation de l’usage des services publics et de la participation au débat démocratique. En somme, la communication institutionnelle contribue à donner du sens à la vie publique.
Or, lorsqu’on parle de communication publique, difficile de la séparer de la communication politique, ce qui explique (en partie) l’absence de distinction par une bonne partie des élus locaux. Sauf s’il s’agit de supports de communication clairement à utilité publique (panneaux, relais d’information…) comme ceux réalisés par Media Plus Communication, la distinction est loin d’être évidente, et pour cause…
Il faut savoir que la communication publique est, par définition, à la jonction de l’administratif et du politique. En d’autres termes, la communication institutionnelle inclut quasiment par défaut le volet politique, car intimement liée aux élus et à l’institution. Pour autant, elle ne se doit pas d’être partisane, et a pour impératif de respecter les principes attachés au service public, à savoir l’égalité et la neutralité. En cela, elle se différencie de la communication strictement politique qui a lieu lors des élections, entre autres. Mais il est vrai que la frontière entre communication publique et communication politique reste fine, subtile. Cela n’a heureusement pas échappé au législateur, qui a mis en place plusieurs lois qui encadrent les deux notions, en plus de la jurisprudence et de la Charte déontologique de la communication publique instituée en 2002. De ce fait, pour être conforme, les élus doivent faire en sorte de ne pas confondre les deux. Seul bémol : la communication n’est pas leur métier, d’où l’importance de s’appuyer sur l’expertise, l’analyse et le conseil d’un cabinet spécialisé en communication institutionnelle comme le groupe Media Plus Communication.
Les petites communes également concernées
Rappelons, au risque de nous répéter, que la communication municipale est aussi l’affaire des petites communes. En effet, ces dernières la prennent également très au sérieux, malgré leurs ressources moindres par rapport aux grandes villes. Aujourd’hui, la communication institutionnelle n’est pas l’apanage exclusif des grandes communes. Pour autant, les petites communes de moins de 10 000 habitants font face à un véritable défi humain, financier et logistique lorsqu’il s’agit de mettre en place une stratégie de communication adaptée. Heureusement pour elles, elles peuvent compter sur les conseils d’un cabinet spécialisé en la matière comme Media Plus Communication.
Désormais, même les petites et très petites communes répondent à l’impératif de communication sur chacune de leurs actions. Cela dit, il est essentiel de commencer par évaluer l’existant pour être en mesure de concevoir une stratégie de communication efficace. Il s’agit là d’une étape clé qui ne doit en aucun cas être prise à la légère, car c’est d’elle que dépend le succès de ladite stratégie. D’où l’importance de la confier à un professionnel dont le cœur de compétences est la communication institutionnelle, ce qui est le cas du groupe Media Plus Communication à Saint-Laurent-du-Var. Entre autres éléments, l’étape d’évaluation doit servir à déterminer la personne qui prendra en charge la communication dans la commune, le budget consacré à la communication ou encore les vecteurs utilisés. Pour être à même de réaliser une évaluation exhaustive, la rigueur est de mise.
Par ailleurs, à l’ère du tout digital, les petites communes ont tout à gagner en orientant leur communication vers les canaux numériques, largement plus accessibles et moins coûteux que les canaux traditionnels. L’un de ces canaux n’est autre que le site internet de la commune, un outil incontournable lorsqu’il s’agit de relayer des informations essentielles aux administrés, tout en étant une vitrine ouverte sur l’extérieur.